Mûshika

Mûshika est le vãhana de Ganesh, c’est à dire l’être qui lui sert de monture (de Vah en sanskrit qui signifie porter ou transporter).

Dans l’iconographie le vãhana est à la fois le symbole et l’emblème de la divinité qu’il porte et en tant qu’adjoint il a pour fonction de redoubler ses pouvoirs.

Ganesh est celui-qui-ôte-les-obstacles, mais il ne peut pénétrer partout malgré sa force éléphantesque, alors que son porteur, la petite souris Mûshika, est capable de se glisser dans les moindres interstices et de venir à bout des obstacles les plus résistants. C’est aussi Mûshika qui, sans jamais se faire remarquer, porte les bénédictions de la divinité dans chaque recoin de l’esprit. Assis sur Mûshika, Ganesh pèse de tout son poids sur les pensées futiles qui pullulent comme des rats dans le noir. (source Wikipédia, évidemment)

Mélodiste passionné, Sébastien CORNET dit Mûshika, est un artiste de musique électronique aux aspirations ambiant et down tempo.

Compositeur et beatmaker depuis 2018, il produit depuis son écrin de verdure Nancéen des mélodies narratives électro symphoniques connectées à la nature et aux éléments, véritables invitations au voyage et à l’imaginaire. Il collabore depuis avec de nombreux artistes locaux, slameurs, danseurs, artistes graphiques et photographes.
C’est dans les années 80 en Bourgogne où il a grandit qu’est né son amour des notes et des harmonies à travers l’apprentissage de la musique classique au piano et l’exploration sur ses cassettes audio d’œuvres très diversifiées allant de Mozart à Balavoine.

Mélomane sans cesse en recherche, passant du rap West coast de Snoop au son électro de Christian Lôffler, d’un Héritage de Benjamin Biolay à l’Oiseau de Bertrand Belin, d’une évasion de Kiasmos à un conte de Saycet, ses nombreuses influences musicales viennent en permanence enrichir et faire évoluer ses inspirations.

« En tant qu’homme de l’ombre résolument tourné vers la composition et l’exploration, tous les projets dans lesquels la musique peut être un allié sont les bienvenus, il n’y a pas de limite à l’imagination (peut être parfois un peu plus à la réalité, c’est vrai, mais ça n’empêche pas de rêver).

A très bientôt. »

Mûshika